Pédro's friends photo Gallery
Share your best fishing pictures specialy in CUBA. Send a description of your fishing trip or your passion ( in English & French if possible), few pictures in 800x600 or 400x533 format, also a small description for each picture. My e-mail :
Peter@pechesud.com
Sorry, but there's some post in French, i don't have enough time to translate everything.
Bonjour amis pêcheurs,
je me présente Yves Boisvert un passionné de voyages (2-3 fois /an depuis 20ans) et aussi de la pêche .(Toutes les fins de semaine de l’été) i.e. VOYAGES DE PÊCHE ...
J’ai même pu contaminer ma famille puisque mon épouse , ma fille et surtout mon garçon sont devenus de vrais amateurs de pêche . Puisque nous pêchons beaucoup au Québec durant la saison estivale, (omble fontaine, doré, brochet du nord ) et voyageons aussi beaucoup , nous nous sommes mis à pêcher dans le sud à CUBA, après avoir vu le programme à la télé en 2005 , LES MORDUS DE LA PÊCHE de Cyril Choquette ,et aussi plus tard après avoir consulté ce présent site formidable de M. Pierre Truong, PÊCHE DU SUD .. Aussi nous sommes allés au Panama , spécifiquement pour la pêche durant les 5 dernières années. Alors je vous présente nos quelques prises …
Les dernières photos sont de 2017, pêche aux Mexique.
Yves Boisvert
Duniesky Urbano notre guide cubain depuis maintenant 3 ans travaille pour le pourvoyeur Marina Marlin, lieu de départ pour notre avant-midi de pêche. Des vents d’une vitesse variantes, nous donnait de la difficulté à pêcher. Ouf ! pas facile pour la pêche à la mouche surtout quand le Bone exige des lancers minimum de 40 pieds et une précision de présentation de la mouche car étant un poisson très craintif. Le Bonefish se chasse à la vue, soit en embarcation ou à pieds ce que Rita et son guide ont fait pour revenir bredouille mais enthousiaste d’avoir attiré à la mouche un Bone évalué par Urbano à une dizaine de livres ??? qui nage encore.
Rita & Normand
Yorge Luna Cuban living in Quebec, 6 to 7 times a year in Cuba. A true fishing lover, Cayo Coco and Santa Maria are its destinations, just beautiful catch.
Yorge Luma
Hello Fishermen,
My name is André Blanchette. I'm real fishing lover, on the St-Laurence near Trois-rivières or in Cuba, spring, summer or winter season.
I caught my first barracuda during a trip on a big cataraman at Cayo Santa Maria (2006), i used the capitan's rod. Since, I nerve go back south witout my rod and fishing gear. I love fishing with locals and don't really appreciate fishing with charter. I use hotel pedalboat, bridge, rocky point or directly from the beach.
All my catches given back to cubans, who are extremely nice with us and we look forward to every year.
Last pictures of my trip at cayo Ensenacho, Dec 2011.
André Blanchette
Cayo Coco 2010, What a pleasure to fish in clear water as crystal and meet such wonderful people .... Yes, we reward them, but Gorges had as much fun as me
to hear my reel complain about the effort. I also join few pictures of Cayo Santa Maria fishing trip in 2009.
Santa Maria 2010 Ten hours fishing made in four times, 24 fish caught, 22 barracuda, one cubera snapper, one Red. Lost many fish, hooks was too small. I also learned how to fish with live mojarra, cuban's way. They shine as a mirror in water, our "Williams" spoon should go back school desk. it's amazing how these little fish starts up all barracudas.
Robert Gratton
Bonjour amis pêcheurs
Voici un petit résumé de mes quelques excursions de pêche lors de mes vacances familiales à Cayo Santa Maria en avril 2010. Je tiens à partager un peu d’information puisque celle trouvée sur ce site m’a énormément aidé à tout planifier.
Ma première journée de pêche eut lieu un dimanche en compagnie de mon frère. Nous avons loué une voiture à notre hôtel, le Barcelo, puis avons débuté en plein après-midi au pont no.38 où nous n’avons rien pris bien qu’il y avait des mojaras visibles du bord. Nous nous sommes rendus par la suite au pont numéro 9, le temps de prendre un cubereta puis un petit poisson exotique puis un gros pargo, tous aux bucktail jigs. Nous sommes ensuite revenus en vitesse à l’hôtel pour manger (le trajet est d’une durée d’environ 25 minutes entre le Barcelo et le pont no.9), puis sommes repartis vers le 9 où nous sommes arrivés vers 17h30. Cela faisait à peine 10 minutes que nous étions arrivés qu’un jeep militaire se stationna derrière notre voiture de location. Des «guarda-fronteras» nous expliquèrent alors que nous ne pouvions pêcher nulle part sur le Pedraplen pour des raisons de préservation. Malgré le fait qu’ils étaient polis et souriants, ils tenaient leur point malgré les quelques questions que je leur posais (je parle un peu l’espagnol). Nous étions terriblement déçus mais n’osions pas trop obstinés, nous sommes donc retournés penauds à l’hôtel.
Le vent omniprésent (7 jours sur 7!!!!) empêchant l’ouverture du centre nautique, nous ne pouvions pas non plus faire de sortie en pédalo ou avec les petits voiliers. Une longue marche sur la plage ne nous avait pas non plus permis de trouver un bel endroit de pêche, ça nous laissait donc de moins en moins d’options
En discutant avec des employés du complexe, ma femme me mit en contact avec Roberto, jardinier au «pueblo», qui nous mena à une lagune située sur la rive sud de Cayo Santa Maria, à une centaine de mètres seulement de l’embranchement où l’on doit tourner à gauche à la fin du Pedraplen pour accéder au Barcelo. Une pancarte y indique Perla Blanca et Sentivos ecologicos. Nous y avons pêché pendant deux heures et n’avons malheureusement pris qu’un petit barracuda. C’était quand même une belle expérience, nous avions de l’eau à la ceinture, eau qui était plus chaude qu’à la piscine. Le fond était solide, il était donc facile de marcher dans l’eau. N’eut été du vent trop fort, je crois que ce lieu offrait un bon petit potentiel à une quinzaine de minutes de marche du Barcelo.
En racontant notre mésaventure au pont no.9 à José, responsable des locations de voitures au Barcelo et grand amant de la pêche, celui-ci m’offra de me reconduire à Perla Blanca (mon frère était en plongée sous-marine). Perla Blanca est sur la rive nord de Cayo Santa Maria, loin à l’est des grands hôtels. Pour y arriver, il faut suivre une route quelque peu cahoteuse sur environ 8km au lieu de tourner à gauche pour le Barcelo (le même embranchement qui permet d’accéder à la lagune). Après avoir passé un campement de fortune des garde-côtes cubains, une pancarte indique de tourner à gauche pour Perla Blanca. On débouche plus loin sur une très belle plage. Une structure de roc à gauche permet de pêcher d’une hauteur de 7 à 8 pieds. J’y étais vers 10h00 à marée basse, je voyais des jeunes barracudas et de petits poissons. Les pélicans s’en donnaient à cœur joie dans la baie à ma gauche. Y être à marée basse n’était pas idéal mais je pouvais caster loin devant moi en raison du vent de dos. Le courant allait de droite à gauche et les poissons circulaient devant moi avant d’aller dans la petite baie. Après une heure tranquille malgré les petits poissons et petits barracuda que je voyais, une forme sombre surgit du fond pour attaquer mon F8-ghrh. C’était je crois un nurse shark par sa forme et par le fait qu’il devait être tapi au fond pour que je ne puisse l’apercevoir avant l’attaque malgré mes verres polarisés. Quel feeling incroyable de le voir attaquer mon leurre et d’entendre par la suite le moulinet crier. Je l’ai combattu pendant environ 10 minutes, étant incapable de le ramener de quelques pieds avant qu’il n’accélère à nouveau vers le large pour dérouler encore plus de fil. Il a finalement eu le dessus sur moi en crochissant trois des six hameçons des trépieds pour se libérer. Malgré la déception de l’avoir perdu, je venais vivre mon meilleur feeling de pêche. Je devais retourner à l’hôtel par la suite, mais j’aurais bien aimé y revenir à marée haute. L‘eau plus haute aurait sûrement permis la présence de plus de poissons.
Au cours de la même journée, ma femme et moi avons croisé à l’hôtel un des deux garda-fronteras qui nous avaient expulsés du pont no.9. Il nous a alors expliqué que l’inspecteur des garde-côtes était dans les parages cette journée-là et que nous avions été aperçus par ceux-ci avec des longues vues (il y avait effectivement un bateau avec le drapeau cubain au large). L’info leur avait alors été refilée puisqu’il était dans les parages et ils étaient donc venus nous expulser. Ma femme demanda au guarda-fronteras si je pouvais y retourner. Il répondit par l’affirmative, l’inspecteur ayant supposément quitté. Avec l’aide de ma femme, mon frère et moi avons alors planifié notre dernière sortie (c’était la dernière journée) en taxi en fin de journée. Le coût était de 35 CUC, le taxi nous laissait là-bas et repassait nous prendre vers 20h45. Il était 18h30, nous pêchions depuis 1 heure (1 pargo et 1 carangue, quelle bombe que ce petit poisson!!!), quand ô misère, le même foutu bateau de garde-côtes apparu au loin et s’approcha de nous. Après s’être ancré du côté gauche du pont, deux très jeunes garde-côtes embarquèrent dans la chaloupe en remorque et se dirigèrent vers nous. Ils questionnèrent en premier un pêcheur cubain, lui expliquant qu’il n’avait pas le droit de pêcher. Un des garde-côtes vint vers moi par la suite pour me dire la même chose. J’étais décidé à être plus convaincant cette fois-ci en me servant du fait que nous ne pouvions retourner à l’hôtel puisque nous attendions un taxi. Les jeunes garde-côtes retournèrent deux fois à leur bateau pour parler avec leur chef avant de finalement nous laisser pêcher à condition de ne pas nous voir. On dû donc se rendre sur le coté droit du pont (avant de le traverser direction Caibarien), le bon côté puisque la marée était en train de tourner. On pêcha d’autres carangues et je perdis un tarpon (les sauts hors de l’eau, quel feeling!!!!) qui s’était sauvé vers le pont après avoir été ferré au large. Ce fut la meilleure soirée de pêche pour mon frère et moi, malheureusement lors de la dernière journée de notre voyage. Nous aurions pu difficilement y retourner de toute façon, nous commencions à être un peu trop connus par les autorités. Le pont no.9 est soit plus gardé qu’avant, soit que nous avons été très malchanceux.
Côté technique, les jigs étaient très efficaces au pont 9, à condition de pouvoir éloigner le poisson ferré du ponton. Autrement, un bas de ligne en fluorocarbone qui frotte sur une structure sous-marine en acier ou en béton, ça finit toujours mal. Nous avons pêché avec des bucktails roses, verts et jaunes de 1 ½ once à 3 onces en castant parallèle au pont jusqu’au 2e ponton. Les rappalas magnum blanc et rouge et yo-zuri f8-ghrh ont fait le reste du travail. Nous n’avons rien pris avec des poppers en raison du vent malgré de nombreuses tentatives. Nous avons à peine pêché sur le pont en raison des garde-côtes.
Si je le pouvais, je retournerais y pêcher demain matin.
Un pêcheur très nostalgique,
Patrice Racine
Cayo Ensenachos 2010 Semaine du 18 avril 2010, très belle semaine pour la température et surtout pour la pêche.
Lundi le 19 nous sommes allez moi et ma conjointe au bout de la plage Mégano vers 8:30 am, la marée était basse mais vers les 10:00 elle a commancée à monter. Toujours au bout de la plage, vers 10:30 je vois une bonne éclabousure près du canal LAU une autre, et encore une autre, là je commence a avoir un bon feeling.
Je repars à ma chambre pour prendre ma canne et je me dirige à la marina pour prendre un pédalo, à mon arrivée le staff me dis qu'il y a trop de vent pour le pédalo alors je lui demande pour un kayak et finalement je m'empresse de retourner au bout de la plage.
À mon arrivée près du canal LAU, il y avait toujours des éclaboussures à la surfface de l'eau, alors j'ai monté ma canne et mis un popper sabalo pour un test. Environ 2 minutes après, bang quelle surprise! une belle carangue laissez moi vous dire prendre une carangue en kayak ce n'était pas facile. Je me dirige vers la plage pour attaché mon poisson à une branche et je repart pour l'action. Je me dirige encore au même "spot" 10 min. et encore une autre carangue et cette fois elle n'était pas facile, un peux plus grosse.
Je suis retourné à l'hotel pour offrir les prises à mon amis cubain qui était très heureux. Aujourd'hui le 20, superbe journée aucun vent, mer calme alors je me dirige à la marina et demande pour un pédalo. Je me dirige au même endroit il est 10:30, ma canne est montée avec le popper sabalo et le spectacle continue trois carangues.
Aujourd'hui le 21 je retourne au même endroit à la même heure, après 10 min une carangue mais je la perds je continue encore une et elle aussi je la perds, environ 20 min.plus tard ma conjointe me dis qu'elle a vu quelque chose sortir de l'eau en arrière de moi et que ce n'était pas petit,alors je lance mon popper sabalo environ 3-4 pieds près de l'éclaboussure, je donne 2 coups de popper et bang mais a ce moment mon moulinet était ajuster pour les carangues et au bout de la canne ce n'était pas une carangue car monsieur le poisson ma déroulé environ 20 mètres de fil. Alors j'ajuste mon frein et le combat dur 10 min.environ et à ce moment il me coupe la ligne, à ma grande tristesse je venait de perdre mon leurre à 40$ mais bon j'ai eu la preuve que ce leurre est d'une grande qualité et une action incroyable à la surface.
Le 22, journée de relaxation qui fut de courte durée car au bout de la plage les carangues etaient très près du bord nous pouvions les voirs facilement dans cet eau cristaline alors je me suis mis à pêcher du bord de la plage avec un roosta popper mais sans succès car quand les carangues apercevaient le popper, elles repartaient car j'était trop près de la plage mais ce fût un beau spectacle quand même. Le 23 nous sommes partis en pédalo en direction de la plage ensénachos il était environ 5:30pm je pêchais avec un yo-zuri F8-ghiw et soudain la tension sur ma canne se fait sentire, un cubéra de belle taille qui se décroche juste devant moi. J'était vraiment surpris d'avoir pris un cubéra avec ce leurre bon je continue après 20 min.,encore un cubéra cette fois-ci il me coupe la ligne et un autre leurre à la mer. Ensuite J'ai pêcher avec différent leurre sans succès puis, je fixe à ma canne un yo-zuri F8-ghrh et commence à faire quelques lancés près du bord il est 6:30pm je capture une sorte de poisson que je ne me rappel pas du nom environ 2 lbs et je continue. À environ 6;45pm voilà que la tension repare sur ma canne toujours près du bord ou il y a beaucoup de rocher, un cubéra sur mon F8-ghrh 20min.de combat.
Samedi le 24 je retourne au même endroit cet fois-ci avec mon amis cubain il est 6:00pm. Il y avait trop de vent pour pêcher au popper alors j'ai gardé mon F8-ghrh sur ma canne après quelques lancés il est 6:55 voilà un autre cubéra de belle taille mais ce dernier se réfugie dans les rochers. Alors je me suis dis que c'était terminer il va me couper la ligne,mais mon amis cubain qui a l'habitude de pêcher ce poisson me dis de le laisser un moment et de ne pas mettre de tension sur la canne, 10 min. d'attente ensuite il me dis de ramener tranquillement sans mettre de tension et voilà que monsieur le cubéra sort de sa cachette. Ce fût une très belle semaine de beau temps et de pêche.
Un gros merci à Pierre Truong pour ses conseilles et son expérience.
Martin Bettez
Alain Pagé is sharing his fishing experience in Cuba Santa Maria Feb 2012, That's great memories !
Alain Pagé